Cet article a été rédigé en collaboration avec Joana LUPIN
Bonjour à tous.
J’ai moi même un chien et un chat et j’ai toujours eu des animaux familiers avec moi depuis ma plus tendre enfance.
Voici mon premier billet sur internetservices.fr
Aimer les animaux pour ce qu’ils sont.
Je veux juste que les animaux soient aimer pour ceux qu’ils sont, et je constate tous les jours que ce n’est pas le cas ; je dirais même que ce n’est plus le cas depuis quelques années, depuis que l’interaction entre la société et l’individu pousse à imaginer que les animaux sont des humains ou presque.
Cette situation résulte de plusieurs facteurs, par exemple le végétarisme ou le véganisme qui se développe. Il y a d’autres facteurs dont je ne parlerais pas ici, ça serait trop long, car c’est un article, pas un livre.
Certaines théories que certain(e)s diffusent ont pour objet de dire ou de laisser croire que les animaux que nous mangeons s’apparente au cannibalisme.
Attention, il s’agit là d’extrémisme comme il en existe dans tous les domaines de notre société.
Pour ma part, je vais donner mon avis : personnellement, je suis ce qu’on nomme désormais les fléxitariens, ceux qui essaient d’avoir une alimentation diversifier tout en mangeant moins de viande, car il est certain que nous en consommons aujourd’hui beaucoup trop.
Revenons au sujet : l’anthropomorphisme.
J’en reviens au sujet de mon billet : Stop à l’anthropomorphisme avec nos animaux domestiques.
Si vous ne savais pas ce qu’est l’anthropomorphisme, n’allez pas chercher un dictionnaire, en voici la définition : L’anthropomorphisme est l’attribution de caractéristiques du comportement ou de la morphologie humaine à d’autres entités comme des dieux, des animaux, des objets, des phénomènes, des idées et voire à des êtres d’un autre monde le cas échéant.
Maintenant, l’anthropomorphisme est devenu la règle.
J’entends quelquefois des personnes et même de plus en plus souvent des professionnels, comme des éducateurs canins ou des vétérinaires, dire cette phrase qui m’arrache les oreilles : « éduquer votre chien » ou chat ou autre.
NON. Seuls les enfants s’éduquent, pas les animaux. Les animaux se dressent.
Et ce n’est pas anecdotique, assimiler un animal, chien ou chat, à un enfant, non, ce n’est pas bon pour eux.
Un animal de compagnie n’a pas besoin qu’on pense pour lui, en disant « il m’aime », « il est fidèle », j’en passe et des meilleures.
Par contre, il a besoin de bouger, sauter, courir, mordre, se mesurer à ses congénères, dont nous ne faisons pas partie,
Ses besoins ne sont pas de rester allongé sur le canapé, à coté de vous en train de regarder la télé.
Son bonheur peut-être, plutôt votre bonheur, parce que pour lui, on en sait trop rien.
Mon coup de gueule : laisser le vivre sa vie animale.
Comme chien et chat
Mon article n’est pas provoquant, certes, ce n’est pas le but, mais j’ai envie de pousser un coup de gueule, laissez les vivre ; oui, laisser lui vivre sa vie d’animal ; plus que de l’affection, dont il ignore peut-être le sens, va savoir, il a besoin de considération et ça passe par du respect de ce qu’il est avant tout, un animal.
Arrêtez de le laver, le coiffer, l’habiller, le toiletter, lui interdire de sentir les autres animaux ou le sol, son odorat c’est sa vue, et tout ce qui se rapporte de prés ou de loin à ce qui est un comportement humain, pas animal.
Je pourrai en écrire encore beaucoup, mais je vais en rester là, je pense avoir dit ce que j’avais sur le cœur sans agressivité et uniquement pour le bien être animal.
Ce qui nous unis, vous lecteur de mon billet et moi, c’est la considération profonde qu’on porte à notre animal de compagnie ; que diable, nous sommes donc d’accord sur l’essentiel.
Maintenant, faites comme moi : chacun vit sa vie, nous sommes ensemble, c’est tout et c’est beaucoup.
Bonne journée.
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J’adore ce billet de votre humeur Joana.
Je suis d’accord avec vous : vive la différence.